Collection Jeune Vieux. Colette (1/1)
Belle-maman que faîte vous chez moi.
Je passais au bas de chez toi, jai eu envie de venir voir si tu te remets de ton divorce avec ma fille.
Jai des hauts et des bas, excusez-moi de ce que jai été obligé de faire.
Ne texcuse pas, Laurent, je connais ma fille, elle a tout le caractère de son père, si je te disais ce que jai subi avec lui, je pourrais écrire un livre.
Faite belle-maman, jaimerais connaître vos secrets de famille, peut-être comprendrais-je pourquoi mon mariage a foiré.
Pour commencer, arrête de mappeler belle-maman, ça été vrai, ça ne lest plus, je te rappelle que mon nom est Colette.
Cest dur de changer ses habitudes, mais je vais essayer.
Belle-maman ça fait vieux, regarde, je fais beaucoup defforts pour rester svelte, je mhabille dans la même taille depuis mon mariage, sauf mes soutiens-gorge avec lallaitement de Viviane, ils ont pris deux bonnets de plus.
En me disant cela, elle se regarde dans la glace de lentrée qui me sert quand je sors draguer pour constater que ma tenue est irréprochable.
Je dois reconnaître quil y a un air de ressemblance avec sa fille, sauf quelques formes plutôt plantureuses.
Jarrive de ma salle de sport, je suis contente de moi, pourrais-tu moffrir un café, tu te souviens que jen raffole ?
Entrez belle, pardon Colette, vous verrez chez moi, maintenant cest assez spartiate, mais vous savez, je sors un peu tard le soir et je dors jusquà dix ou onze heures, après je mange ce que jai acheté où souvent ce quil reste avant daller chercher du boulot.
Cest vrai, ce connard dAlfred ta viré de sa banque ne supportant pas que tu aies quitté sa fille, si je te disais les pieds et les mains quil a faits pour te la caser.
Jadore cette femme, ses cheveux blancs, je lai toujours connu avec des cheveux blancs, jai même cru quelle se faisait teindre pour passer pour une femme très digne.
Bien sûr, elle nen a pas besoin, il faut dire que, lorsquelle parle de ses vêtements, elle se les fait faire sur mesure, nait-elle pas femme du directeur de notre banque, monsieur ayant chauffeur.
Jétais fière davoir dragué la fille du boss, moi petit employé, à aucun moment, je naurais imaginé entrer dans cette grande famille parisienne.
Jai rencontré Viviane, à la banque, son père ayant offert un apéritif à tout le personnel.
Ma future femme était présente ainsi que celle qui devait devenir ma belle-maman, pardon Colette, même en vous écrivant, il faut que je mhabitue.
Après la noce, nous avons pris lavion, un taxi, nous rendant dans la villa que le couple avait acquise, personne ne sachant comment, bien quil ait de hauts revenus, certains ont parlé du coup de bourse à la limite du délit dinitier.
De plus, il est maire dune grosse commune de la banlieue parisienne et là encore des bruits courent que certaines opérations immobilières ou dobtentions de marchés communaux ont eu des retombés sur sa fortune.
Dès que nous avons été dans leur villa, un jour que je la croyais partie à la plage, jai cru voir Viviane entrer dans le souk, jai essayé de la suivre, étonner quelle entre dans cet endroit, seule, elle est revenue trois heures plus tard.
Tu as passé une bonne journée chérie.
Comme dab, bronzage sur la plage.
En ce qui concerne le bronzage, impossible de voir si cétait vrai, elle fait des UV à Paris une fois par semaine, le lendemain, jai fait le tour de la plage où elle était censée être alors que nous avons une piscine dans la villa, personne, elle peut même se mettre nue, aucune trace de maillot.
Jai eu de sérieux doute surtout quand elle est rentrée et que delle-même, elle ma dit que la plage était noire de monde, ce qui était loin dêtre, ce que javais vu.
Certain quelle avait une vie parallèle en venant ici, je me suis planqué à lentrée du souk, elle est passée à quelques mètres de moi, son téléphone à loreille, jai juste entendu, « jarrive » avant de la voir entré par une porte derrière une échoppe qui vendait des babouches.
Omar, cest le nom quil y avait sur la boîte posée sur la porte, il y avait un café tout proche, je me suis installé, elle est sortie deux heures plus tard, elle est passée par la plage pendant une heure avant de revenir à la maison avant moi.
Elle a fait la femme amoureuse alors quelle venait de se faire trombiner par le dénommé Omar, du moins cest ce que jimagine sans bien sûr le voir.
Le lendemain, même manège, après quelle fut ressortie, jai frappé à la porte, une servante est venue mouvrir, jai prétexté que je connaissais certainement lhomme qui habitait ici, layant vu entré un peu plus tôt.
Elle ma montré léchoppe et ma dit quil était dans sa boutique, je suis allé voir, un baraqué avec des paluches qui devaient la massacrer, si sa bite était à lavenant, il métait impossible de lutter.
Nous sommes rentrés en France, un mois plus tard, prétextant que le temps était mauvais à Paris, elle a souhaité reprendre lavion pour le Maroc.
Je savais quelle voulait continuer à me faire porter des cornes, je lui ai demandé si elle rejoignait le dénommé Omar, elle ma fait la scène du trois avant de mavouer que ce garçon était lhomme de sa vie, quil lavait dépucelé et que son père refusait leur union.
Cest là que lidée de la mairie a germé dans sa tête et que jai été le couillon de la farce, jai divorcé sans grande indemnité, je suis simplement au prud'homme pour mon licenciement abusif.
Pour le café, je nai que de la poudre.
Cest dégueulasse, mais pour une fois je vais faire une exception.
Une heure après, elle était prête à me quitter, nous avions parlé de la pluie et du beau temps, elle a voulu parler de la mairie, jai refusé ce sujet, mais jai eu le temps de constater quelle en savait beaucoup sur les agissements de son mari.
Bon, je pars Laurent, on sembrasse, maintenant que nous sommes devenues des amis, inutiles de rester guindés.
Elle membrasse et me quitte, je dois reconnaître que même si jai dragué quelques filles depuis mon divorce, je regarde son petit cul, sans aller jusquà le comparer avec celui de sa fille, quoi que.
Le lendemain, étant sorti tard, sans avoir levé la moindre petite chatte, je dors quen on sonne, neuf heures, qui vient memmerder ?
Monsieur, jai un colis pour vous, veuillez signer là.
Je nattends rien.
On ma dit que vous allier dire ça, je vous assure que vous pouvez le prendre, cest pour vous.
Je signe, jentre le gros paquet, je louvre, mes yeux remplis de sommeil, une cafetière avec deux kilos de café en grains, jai un doute qui me loffre, mais à quoi bon chercher avec un cerveau si embrumé, autant en profiter.
Je linstalle dans ma petite cuisine où il ny a quun frigo et mon micro-onde, il y a une cuisinière qui doit marcher au gaz, mais que je nai jamais branché, cest vrai que le café me réveille.
Il est onze heures quand on sonne de nouveau.
Maison Fauchon.
Même litanie, sur le colis mon nom et mon adresse qui sont bien les miens, je louvre, je naurais pas à faire de course pendant huit jours.
Quatorze heures, on sonne de nouveau.
Bonjour Laurent, je ne vais pas te faire le coup de « je passais dans le quartier » comme hier, je venais voir si tu avais reçu mes petits cadeaux.
Oui, les livreurs mont réveillé et mis de mauvaise humeur.
Pardon petit chou, je voulais me faire plaisir, jai autant dargent que je veux et aucun motif de le dépenser, je crois que tu peux me faire un vrai café.
Colette passe près de moi, me frôlant pour entrer dans ma cuisine, elle lève sa main et la passe sur ma joue.
Si je mécoutais.
Cest fait, jignore qui delle ou de moi ai raccourci la distance, mais son corps est venu au contact du mien, quand jai épousé sa fille, celle-ci à dentrée refuser mon contact, même si elle a fait son devoir conjugal, quand nous faisions lamour, pardon que nous baisions, elle se mettait en position de levrette, jen avais déduit quelle refusait de voir mon visage.
À ce moment, cest une pieuvre qui plaque son corps contre le mien, dans un premier temps, oublier le café, elle se pend à mon cou, on dirait une plume dans mes bras.
Je la plaque le long de la porte son bassin et surtout ses jambes entourant mes hanches, ma main passe entre nous, je sors ma verge qui entre sans difficulté dans son vagin entièrement lubrifiée par la cyprine qui coule, sous sa mini, elle a oublié de se couvrir.
Un parfum damour et de sexe envahit mon logement, ma queue entre et sorte de son fourreau grâce aux coups de cul que je lui donne, je nai jamais baisé dune manière si fusionnelle.
Je prends le chemin de mon divan ouvert en lit, alors quelle me serre fortement par le cou, chaque pas que je fais mapporte un nouveau râle me montrant son plaisir, je la pose sur mes draps froissés, quand un premier orgasme la frappe.
Elle lâche mon cou saffalant sur ma couche, dans un mouvement, elle est à nouveau sur ses genoux, sa bouche prenant ma tige sans sinquiéter de ses sécrétions qui la maculent.
Jai souvent été pompé, mais Colette est un véritable aspirateur femelle, je me targue davoir une résistance à toute épreuve, mais le sperme que je lui envoie au fond de la gorge est ingurgité comme si elle navait pas mangé depuis plusieurs jours.
Dans le corps de belle-maman, merde, je dé encore, Colette bien sûr, je viens de plonger ma queue, pour le pire, mais surtout pour le meilleur.
Baise, café, café baise a été le lot des jours qui suivant, elle est insatiable, je suis insatiable, les cadeaux succèdent aux cadeaux, cuisine aménagée avec plaque et four électrique, lit de grandes marques avec barreaux, elle aime bien mattacher.
Le tribunal des prudhommes a statué et votre licenciement a été considéré comme abusif, votre employeur à huit jours pour vous reprendre, sinon chaque jour de retard, il sera assujetti à vous payer la somme de 5 000 par jour de retard.
Alfred a mis 6 jours avant que le moment que je vis narrive.
Entrez, Laurent, je crois quil faut que.
Je lai vu porté sa main à son cou, desserré sa cravate avant de renverser sa tête en arrière les yeux sans expression.
Madame, appelez les secours, votre patron vient de faire une attaque.
Les secours sont intervenus, il est resté deux mois à lhôpital, mon ex-femme a reçu de ma future femme la maison du Maroc où elle est partie vivre, elle a placé à la tête de notre banque, le bras droit dAlfred qui a pris les affaires en main.
Il est chargé de me former pour que je sois capable de le remplacer dans trois ans au moment de sa retraite.
Alfred vit dans laile droite de leur maison dans notre ville dont je suis devenu le maire avec comme première adjointe Colette ma future moitié dès que son mari sera parti.
Jaime la baiser sur le bureau où Alfred faisait ses affaires louches, il ny a pas un jour sans que ma verge nentre en elle ou quand elle ne peut pas sa bouche reçoit ma semence.
Depuis quil a été frappé par sa maladie, je nai jamais revu beau-papa, une infirmière fort dévouée viens soccuper de lui deux fois par jour.
Je vous quitte, Colette, ma femme vient de me biper, les joies dêtre patron, cest que je peux la rejoindre chaque fois quelle le veut.
Jignore ce quelle me réserve comme jeux pervers, son cerveau de dépraver nayant aucune limite.
Comment dire, Colette a fait de moi un gigolo !
Quand je parle de ma femme en parlant de ma maîtresse, cest que nous pensons nous marier dès que lissu qui semble fatal se produira pour beau-papa, deuxième attaque, sauvé de peu, la prochaine daprès ses médecins lui sera fatal, mais nous ne sommes pas pressés, on sen fou, on baise comme des bêtes.
Et quand je parle quelle a fait de moi un gigolo, jassume, mais ne vous y tromper pas, lamour qui nous unit est très profond.
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